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Titre : Corée : l'art du sanjo de cheolhyeongeum Type de document : enregistrement sonore musical Auteurs : Kyung-hwa Yu (1968-....), Autre ; Yong-Koo Lee (1969-....), Tambour Editeur : Maison des Cultures du Monde Année de publication : 2015 Importance : 1 disque compact (45 min 14 s) ISBN/ISSN/EAN : 3760160751521 Langues : (Kor) Mots-clés : Corée, musique traditionnelle Index. décimale : 9.47 13 Résumé : A nouvelle musique, nouvel instrument : une cithare coréenne "hawaienne"... Né à la fin du XIXe siècle, le sanjo est une suite pour instrument solo accompagné au tambour. Ce genre, plus que tout autre, incarne la musique traditionnelle des Coréens d'aujourd'hui, sans doute en raison de ses sonorités très contemporaines et de la virtuosité qu'il impose à ses interprètes. Conçu à l'origine pour la cithare gayageum, le sanjo est très vite adopté par d'autres instruments traditionnels. Mais le musicien Kim Yeong-cheol va plus loin. Le succès mondial de la guitare hawaïenne dans les années quarante lui donne l'idée d'une cithare hybride permettant un jeu en glissando. Il l'appelle cheolhyeongeum, la "cithare de Cheol". Aujourd'hui encore, le timbre à la fois clair et profond des cordes de métal sonnent de manière exotique aux oreilles des coréens habitués aux cordes en soie et ses articulations mélodiques, d'une extraordinaire souplesse, rappellent aux connaisseurs un instrument indien comparable : la vichitra veena. Dans la foulée, Kim Yeong-cheol dote l'instrument de son propre sanjo. Poussant l'instrument jusqu'à ses limites en jouant sur la variété expressive des modes musicaux coréens, il en propose une version particulièrement audacieuse et novatrice tout en lui conservant sa forme générale, tout d'abord méditative puis de plus en plus virtuose. Cette pièce aux modulations incessantes est d'une grande difficulté. Yu Kyung-hwa est non seulement une des rares musiciennes maîtrisant parfaitement le cheolhyeongeum, mais elle est aussi la seule capable d'interpréter le sanjo de Kim Yeong-cheol dans son intégralité. On appréciera particulièrement la beauté de sa sonorité et sa virtuosité dans les mouvements rapides. Note de contenu : Jinyangjo
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JajinmoriEn savoir plus : http://www.mediatheques-valdenievre.fr/index.php?lvl=notice_display&id=153148 Corée : l'art du sanjo de cheolhyeongeum [enregistrement sonore musical] / Kyung-hwa Yu (1968-....), Autre ; Yong-Koo Lee (1969-....), Tambour . - [S.l.] : Maison des Cultures du Monde, 2015 . - 1 disque compact (45 min 14 s).
ISSN : 3760160751521
Langues : (Kor)
Mots-clés : Corée, musique traditionnelle Index. décimale : 9.47 13 Résumé : A nouvelle musique, nouvel instrument : une cithare coréenne "hawaienne"... Né à la fin du XIXe siècle, le sanjo est une suite pour instrument solo accompagné au tambour. Ce genre, plus que tout autre, incarne la musique traditionnelle des Coréens d'aujourd'hui, sans doute en raison de ses sonorités très contemporaines et de la virtuosité qu'il impose à ses interprètes. Conçu à l'origine pour la cithare gayageum, le sanjo est très vite adopté par d'autres instruments traditionnels. Mais le musicien Kim Yeong-cheol va plus loin. Le succès mondial de la guitare hawaïenne dans les années quarante lui donne l'idée d'une cithare hybride permettant un jeu en glissando. Il l'appelle cheolhyeongeum, la "cithare de Cheol". Aujourd'hui encore, le timbre à la fois clair et profond des cordes de métal sonnent de manière exotique aux oreilles des coréens habitués aux cordes en soie et ses articulations mélodiques, d'une extraordinaire souplesse, rappellent aux connaisseurs un instrument indien comparable : la vichitra veena. Dans la foulée, Kim Yeong-cheol dote l'instrument de son propre sanjo. Poussant l'instrument jusqu'à ses limites en jouant sur la variété expressive des modes musicaux coréens, il en propose une version particulièrement audacieuse et novatrice tout en lui conservant sa forme générale, tout d'abord méditative puis de plus en plus virtuose. Cette pièce aux modulations incessantes est d'une grande difficulté. Yu Kyung-hwa est non seulement une des rares musiciennes maîtrisant parfaitement le cheolhyeongeum, mais elle est aussi la seule capable d'interpréter le sanjo de Kim Yeong-cheol dans son intégralité. On appréciera particulièrement la beauté de sa sonorité et sa virtuosité dans les mouvements rapides. Note de contenu : Jinyangjo
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JajinmoriEn savoir plus : http://www.mediatheques-valdenievre.fr/index.php?lvl=notice_display&id=153148 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 9344980105 9.47 YU 13 CD Halloy lès Pernois Espace CD Disponible
Titre : Corée : l'art du sanjo de cheolhyeongeum Type de document : enregistrement sonore musical Auteurs : Kyung-hwa Yu (1968-....), Autre ; Yong-Koo Lee (1969-....), Tambour Editeur : Maison des Cultures du Monde Année de publication : 2015 Importance : 1 disque compact (45 min 14 s) ISBN/ISSN/EAN : 3760160751521 Langues : (Kor) Mots-clés : Corée, musique traditionnelle Index. décimale : 9.47 13 Résumé : A nouvelle musique, nouvel instrument : une cithare coréenne "hawaienne"... Né à la fin du XIXe siècle, le sanjo est une suite pour instrument solo accompagné au tambour. Ce genre, plus que tout autre, incarne la musique traditionnelle des Coréens d'aujourd'hui, sans doute en raison de ses sonorités très contemporaines et de la virtuosité qu'il impose à ses interprètes. Conçu à l'origine pour la cithare gayageum, le sanjo est très vite adopté par d'autres instruments traditionnels. Mais le musicien Kim Yeong-cheol va plus loin. Le succès mondial de la guitare hawaïenne dans les années quarante lui donne l'idée d'une cithare hybride permettant un jeu en glissando. Il l'appelle cheolhyeongeum, la "cithare de Cheol". Aujourd'hui encore, le timbre à la fois clair et profond des cordes de métal sonnent de manière exotique aux oreilles des coréens habitués aux cordes en soie et ses articulations mélodiques, d'une extraordinaire souplesse, rappellent aux connaisseurs un instrument indien comparable : la vichitra veena. Dans la foulée, Kim Yeong-cheol dote l'instrument de son propre sanjo. Poussant l'instrument jusqu'à ses limites en jouant sur la variété expressive des modes musicaux coréens, il en propose une version particulièrement audacieuse et novatrice tout en lui conservant sa forme générale, tout d'abord méditative puis de plus en plus virtuose. Cette pièce aux modulations incessantes est d'une grande difficulté. Yu Kyung-hwa est non seulement une des rares musiciennes maîtrisant parfaitement le cheolhyeongeum, mais elle est aussi la seule capable d'interpréter le sanjo de Kim Yeong-cheol dans son intégralité. On appréciera particulièrement la beauté de sa sonorité et sa virtuosité dans les mouvements rapides. Note de contenu : Jinyangjo
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JajinmoriEn savoir plus : http://www.mediatheques-valdenievre.fr/index.php?lvl=notice_display&id=153597 Corée : l'art du sanjo de cheolhyeongeum [enregistrement sonore musical] / Kyung-hwa Yu (1968-....), Autre ; Yong-Koo Lee (1969-....), Tambour . - [S.l.] : Maison des Cultures du Monde, 2015 . - 1 disque compact (45 min 14 s).
ISSN : 3760160751521
Langues : (Kor)
Mots-clés : Corée, musique traditionnelle Index. décimale : 9.47 13 Résumé : A nouvelle musique, nouvel instrument : une cithare coréenne "hawaienne"... Né à la fin du XIXe siècle, le sanjo est une suite pour instrument solo accompagné au tambour. Ce genre, plus que tout autre, incarne la musique traditionnelle des Coréens d'aujourd'hui, sans doute en raison de ses sonorités très contemporaines et de la virtuosité qu'il impose à ses interprètes. Conçu à l'origine pour la cithare gayageum, le sanjo est très vite adopté par d'autres instruments traditionnels. Mais le musicien Kim Yeong-cheol va plus loin. Le succès mondial de la guitare hawaïenne dans les années quarante lui donne l'idée d'une cithare hybride permettant un jeu en glissando. Il l'appelle cheolhyeongeum, la "cithare de Cheol". Aujourd'hui encore, le timbre à la fois clair et profond des cordes de métal sonnent de manière exotique aux oreilles des coréens habitués aux cordes en soie et ses articulations mélodiques, d'une extraordinaire souplesse, rappellent aux connaisseurs un instrument indien comparable : la vichitra veena. Dans la foulée, Kim Yeong-cheol dote l'instrument de son propre sanjo. Poussant l'instrument jusqu'à ses limites en jouant sur la variété expressive des modes musicaux coréens, il en propose une version particulièrement audacieuse et novatrice tout en lui conservant sa forme générale, tout d'abord méditative puis de plus en plus virtuose. Cette pièce aux modulations incessantes est d'une grande difficulté. Yu Kyung-hwa est non seulement une des rares musiciennes maîtrisant parfaitement le cheolhyeongeum, mais elle est aussi la seule capable d'interpréter le sanjo de Kim Yeong-cheol dans son intégralité. On appréciera particulièrement la beauté de sa sonorité et sa virtuosité dans les mouvements rapides. Note de contenu : Jinyangjo
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